Revenir à des outils exigeants, ce n’est pas regarder en arrière. C’est choisir la justesse. La précision. Le plaisir du geste maîtrisé.
Je me suis récemment formée à nouveau sur Premiere Pro et After Effects : une belle remise à niveau, et un retour aux fondamentaux.
— Mise à jour 2025, avec un clin d’œil à mes années ESRA… comme quoi, les fondations tiennent bon.
Ces dernières années, j’ai beaucoup utilisé des outils de montage plus "rapides" comme Filmora ou CapCut — parfaits pour l'efficacité au quotidien.
Mais remettre les mains dans Premiere et After Effects, c’est tout autre chose.
Un retour à la finesse, au détail.
Du montage fin, du plaisir pur.
Je suis convaincue que ces outils vont reprendre leur place, même en communication.
Parce que j’observe un vrai mouvement de fond : le retour des formats longs, plus soignés, plus narratifs.
Ils reviennent, et c’est tant mieux.
Et avec l’IA qui nous libère du temps sur certaines tâches, c’est peut-être le moment idéal pour revoir nos priorités.
Repenser nos contenus.
Ralentir. Approfondir.
Créer moins, mais mieux.
Revenir à la narration.
Retrouver le plaisir de faire.
Ceux qui feront la différence seront ceux qui auront choisi la qualité, pas la facilité.
Et vous, vous sentez ce tournant aussi ?
Je forme vos équipes à l’IA générative pour oxygéner vos idées et vos plannings | XP de 25 ans dans la com et le journalisme, je forme aussi à la vidéo mobile ❤️ | Certifié Qualiopi 🇫🇷
6 months ago
Oui. Je suis personnellement en plein virage.
L’IA me sort d’une forme de paresse.
Ce que je croyais être bon, l’IA le fait aussi bien voir mieux que moi et beaucoup plus rapidement.
Le « bon » n’étant plus suffisant, je dois sortir de ma zone de confort intellectuelle pour atteindre un « meilleur ».
Donc :
→ Je dois préciser mes points de vue, donner corps à mes intuitions, renforcer mes arguments.
→ Je ne dois plus m’arrêter là où je croyais que ma compétence s’arrêtait.
→ Je sens qu’il est temps de dépasser mes peurs, dénouer mes névroses paralysantes
Ce qui est amusant, c’est que la même force qui m’oblige est aussi celle qui me libère.
→ L’IA me permet de dépasser la peur de la page blanche
→ Elle m’aide à lever des doutes bloquant sur des questions parfois triviales.
→ Elle me donne à voir des horizons que je n’avais jamais envisagés.
→ Elle me libère un temps considérable jusqu’à présent consacré à des tâches sans intérêt.
Je n’ai jamais ressenti aussi intensément le besoin de définir ma juste place, conjuguant mes désirs et mes compétences.