Dans un monde où l’IA sait (presque) tout, la vraie différence… c’est la question.
Ce n’est plus la réponse qui est rare.
C’est l’intuition.
La direction.
L’intention.
Savoir quoi demander — et comment le demander — devient une compétence clé.
Poser la bonne question à l’IA, c’est déjà penser autrement.
C’est cadrer le problème avec clarté.
C’est ouvrir un espace que l’IA seule n’aurait pas exploré.
Sam Altman le dit : ce qui nous distingue de l’IA, ce n’est pas la connaissance.
C’est notre capacité à imaginer, relier, détourner.
Les leaders de demain ?
Ce ne sont pas ceux qui ont toutes les réponses.
Mais ceux qui savent poser les bonnes questions, aux bons moments — même (surtout) à une machine.