📝 Je viens de lire un article passionnant de Carlos Diaz qui m'a fait réfléchir sur notre rapport à l'IA et au futur.
Un passage en particulier m'a interpellée :
« 𝑇𝑜𝑢𝑡 𝑙𝑒 𝑚𝑜𝑛𝑑𝑒 𝑣𝑖𝑡 𝑐𝑒 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑚𝑚𝑒 𝑢𝑛 𝑚𝑜𝑖𝑛𝑒 𝑐𝑜𝑝𝑖𝑠𝑡𝑒 𝑑𝑢 𝑋𝑉𝑒̀𝑚𝑒 𝑠𝑖𝑒̀𝑐𝑙𝑒 𝑞𝑢𝑖 𝑎𝑢𝑟𝑎𝑖𝑡 𝑒𝑛𝑡𝑒𝑛𝑑𝑢 𝑝𝑎𝑟𝑙𝑒𝑟 𝑑'𝑢𝑛𝑒 𝑚𝑎𝑐ℎ𝑖𝑛𝑒 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒𝑝𝑟𝑜𝑑𝑢𝑖𝑟𝑒 𝑑𝑒𝑠 𝑙𝑖𝑣𝑟𝑒𝑠 𝑒𝑛𝑡𝑖𝑒𝑟𝑠 𝑒𝑛 𝑞𝑢𝑒𝑙𝑞𝑢𝑒𝑠 ℎ𝑒𝑢𝑟𝑒𝑠. 𝐶𝑜𝑚𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑖𝑛𝑢𝑒𝑟 𝑎̀ 𝑒𝑛𝑙𝑢𝑚𝑖𝑛𝑒𝑟 𝑠𝑒𝑠 𝑚𝑎𝑛𝑢𝑠𝑐𝑟𝑖𝑡𝑠 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑙𝑎 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 ? »
Et si, plutôt qu'une menace, c'était l'opportunité de redéfinir notre valeur ajoutée ?
𝗟'𝗜𝗔 𝗰𝗿𝗲́𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗻𝗼𝘂𝘃𝗲𝗹𝗹𝗲 𝘀𝘁𝗿𝗮𝘁𝗶𝗳𝗶𝗰𝗮𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝘂 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗲𝗻𝘂 :
⏹ D'un côté, un contenu standardisé, rapide et efficace, produit par l'IA. Idéal pour les tâches répétitives, les informations factuelles, les contenus techniques.
⏹ De l'autre, une forme de contenu "fait-main" où l'humain fait toute la différence. Des textes empreints d'authenticité, de créativité et d'émotion. Des réflexions nourries par nos doutes et nos expériences.
Cette évolution est déjà visible : au milieu du déluge de contenus formatés, une réflexion personnelle, même imparfaite, sort du lot.
C'est peut-être là que réside notre force : quand les machines excellent dans la standardisation, nous excellons dans l'art d'être authentiquement humains.
💭 Laissons aux machines la perfection du factuel, et gardons pour nous ce qui fait notre essence : l'art de susciter l'émotion, d'éveiller le doute, de provoquer la réflexion et d'enrichir la conversation.
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